Le concept japonais ne différencie pas l’intérieur
de l’extérieur, mais sépare l’espace public de l’espace privé
en jouant sur des strates successives, des murs qui ne sont que
des parois en papier, des successions de panneaux, l’absence
de couloir, autant de thèmes que l’on retrouve dans la production
de Mies van der Rohe dès la fin des années 1930 dont
la sensibilité orientale a été relevée par Werner Blaser dans
West Meets East (1996).